Nouvelle programmation
Au programme ce semestre à Metz et Ban-Saint-Martin, une rencontre conviviale avec Yan Lindingre, dessinateur de presse bien connu des lecteurs de Fluide Glacial et du Canard Enchaîné, mais aussi dialoguiste à la “Présipauté” du Groland. Ponctuée de lectures et de dessins, la soirée mettra en lumière sa dernière publication, Les Zaidants, où les professionnels du social et du médico-social sont croqués avec humour et tendresse (2 oct.).
Aux côtés d’Antoine Garapon, magistrat et voix familière des auditeurs de Radio France, sera abordée la justice restaurative, une voie d’avenir pour notre pays et ses victimes en quête de réparation (9 oct.). Le journaliste d’investigation Hubert Guillaud explorera les procédures opaques des algorithmes, qui constituent selon lui une “incontrôlable machine à discriminer” (14 oct.). Initiation à la lutte contre l’antisémitisme avec Jonas Pardo via le petit manuel dont il est l’auteur (22 oct.), tandis qu’une séance du Festival du film italien de Villerupt sera à nouveau décentralisée à Metz (24 oct.). Nous examinerons la notion de care au prisme des séries TV (Urgences, Hippocrate, etc.) avec la philosophe Sandra Laugier (6 nov.), avant d’assister à deux événements en compagnie de l’acteur Jacques Bonnaffé : projection du film Les Intrus en présence du réalisateur Reza Serkanian (7 nov.), puis une lecture musicale du célèbre roman Sur la route de Jack Kerouac (8 nov.).
Figure des économistes atterrés que l’on peut suivre sur France Inter, Thomas Porcher nous rejoindra à l’occasion d’une journée dédiée à l’ESS organisée par l’IRTS de Lorraine pour évoquer la condition du vacataire, un statut précaire dont il a fait l’expérience lorsqu’il était chargé de cours à l’université (12 nov.). Enfin, deux personnalités à ne pas manquer : le sociologue Bernard Lahire revient à Metz pour deux conférences : Vers une science sociale du vivant (27 nov.) et Savoir ou périr (28 nov.). De même que Philippe Meirieu interviendra sur les pédagogies et les neurosciences (20 jan.), puis en rapport avec l’intelligence artificielle le lendemain sur le site de Nancy (21 jan.).
