Conservatoire Eurométropole de Metz : Entrez, c’est ouvert !

Conservatoire Eurométropole de Metz : Entrez, c’est ouvert !

En avril, le Conservatoire à Rayonnement Régional Gabriel Pierné de l’Eurométropole de Metz ouvre ses portes au public : une sortie idéale pour les familles ou les jeunes se destinant à une pratique artistique.

Portes ouvertes

À cette occasion, les visiteurs pourront découvrir cet établissement d’enseignement artistique spécialisé en musique, danse et théâtre.

Un large choix de manifestations sera proposé, de quoi ravir petits et grands. Une belle occasion pour permettre aux enfants désireux de suivre des cours de musique, de danse ou de théâtre au Conservatoire de venir découvrir cet établissement riche et dynamique, mais aussi de mieux connaître les perspectives artistiques pour les jeunes se destinant à une pratique professionnelle.

© DR

Les visiteurs pourront

>Essayer des instruments et rencontrer les professeurs afin de poser toutes les questions sur les pratiques artistiques, que ce soit en vue d’un parcours amateur ou préprofessionnel

>Assister à certains cours de musique, danse ou théâtre

>Assister à des prestations de professeurs et d’élèves du Conservatoire

Les Portes ouvertes sont une occasion privilégiée de découvrir le Conservatoire,
ses disciplines, ses professeurs et son fonctionnement. Réservez votre matinée, toute l’équipe et les élèves vous attendent !

Conservatoire Eurométropole de Metz
2 rue du Paradis
conservatoire.eurometropolemetz.eu
9 h à 13 h – Samedi 13 avril

Une fable rocambolesque

Une fable rocambolesque

C’est, avec Le Lac d’argent, un chef-d’œuvre rare et à vrai dire inclassable que met à l’affiche l’Opéra national de Lorraine : un petit bijou d’humour noir et de théâtre de l’absurde qui, sous l’apparence d’une improbable fable, sut mieux qu’aucun autre saisir l’esprit d’une époque empoisonnée.

Le Lac d’argent

Der Silbersee

Opéra de Kurt Weill
Livret Georg Kaiser
Créé à Leipzig, Magdebourg et Erfurt, le 18 février 1933
Orchestre et Chœur de l’Opéra national de Lorraine
Direction musicale Gaetano Lo Coco
Mise en scène, scénographie Ersan Mondtag
Reprise de la mise en scène Fanny Gilbert-Collet
Chef de chœur Guillaume Fauchère
Avec Joël Terrin, Benny Claessens, James Kryshak, Ava Dodd/Anne-Élodie Sorlin,
Nicola Beller Carbone, Inna Jeskova, Séverine Maquaire, Benjamin Colin, Wook Kang, Yong Kim, Ill Ju Lee, Yanis Bouferrache

 

Le Lac d’argent © Opera Ballet Vlaanderen

Production Opera Ballet Vlaanderen – Coproduction Opéra national de Lorraine

En français et en allemand, surtitré

Parce qu’il a volé un ananas pour nourrir les siens, le prolétaire Severin est blessé par un coup de feu de l’agent Olim. Pour racheter sa conscience, ce dernier l’invite au château du lac d’argent qu’il a remporté à la loterie. Malgré les tentatives de la gouvernante d’attiser leur haine, les deux hommes se nouent d’amitié. Le lac gèle, esquissant un possible chemin vers la lumière. Mais dans l’ombre, Hitler a entamé sa résistible ascension…

Le Lac d’argent connut le destin de Cassandre : créé en 1933 juste après l’arrivée des nazis au pouvoir, il fut interdit à sa seizième représentation. Quelques semaines plus tard, Kurt Weill s’exilait aux États-Unis. Qualifiée par le régime de “batard musical” (ce qui apparaît rétrospectivement comme un compliment), l’œuvre est à mi-chemin entre l’opéra et le cabaret. La musique terriblement inventive et entraînante en diable revisite librement des formes telles que la cantate, la chanson, la ballade ou l’oratorio : près d’un siècle plus tard, elle nous arrache des larmes de rire et d’effroi.

«Le Lac d’argent relève d’une esthétique de la résistance qui constitue l’une des lignes de force de notre saison. Lorsque le passé empoisonne le présent, lorsque la montée des fascismes nous rappelle les heures les plus sombres de notre Histoire, des artistes entrent en lutte. C’étaient hier Kurt Weill ou le compositeur tchèque Pavel Haas, mort à Auschwitz. C’est aujourd’hui l’Ukrainienne Victoria Poleva, dont l’œuvre prend – dans le contexte actuel – un sens politique». Matthieu Dussouillez, Directeur général de l’Opéra national de Lorraine (L’Opéra national de Lorraine a programmé en mars dernier des œuvres de ces compositeurs dans son concert «Résistance».)

Il fallait un metteur en scène à la hauteur de cette pièce déjantée et Ersan Mondtag, nouvelle coqueluche du théâtre allemand, ne démérite pas. À grands coups de décors spectaculaires et de costumes exubérants, il électrise cette pièce et lui redonne sa brûlante actualité dans une Europe en proie au retour des nationalismes.

La réussite époustouflante de cette production – prix de la meilleure coproduction européenne par le Syndicat français de la critique – doit beaucoup au comédien Benny Claessens qui la porte tambour battant. Véritable bête de scène, ce Flamand a fait ses armes en Belgique avant de devenir l’un des acteurs phares de la Kammerspiele de
Munich puis de la Schaubühne de Berlin. Lors de la Première à l’Opéra d’Anvers, on a été témoin de sa capacité à retourner la salle en une réplique.

Le Lac d’argent © Opera Ballet Vlaanderen

Durée : 3 h avec entracte

15 h – Dimanche 14 avril
20 h – Mardi 16, jeudi 18 et samedi 20 avril
> Le quart d’heure pour comprendre
45 minutes avant le début du spectacle (gratuit, sur présenta­tion du billet)

Opéra national de Lorraine – Nancy
Place Stanislas
opera-national-lorraine.fr
+33 (03) 83 85 33 11

Explorez les profondeurs de la ville !

Explorez les profondeurs de la ville !

Plongez dans les entrailles de la ville de Luxembourg et découvrez l’histoire du monde méconnu des casemates

La casemate provient du grec chasma(ta), signifiant gouffre. Elle désigne un ouvrage fortifié à l’épreuve de l’artillerie. Pourvue de meurtrières, elle était également utilisée pour abriter les troupes et leur matériel.

Les casemates de Luxembourg sont pleines de mystères. Elles ont abrité de lugubres histoires datant des temps reculés où Luxembourg était l’une des forteresses les plus enviées d’Europe. Intimement lié au berceau de la ville de Luxembourg, l’immense système souterrain de défense militaire des casemates est bien postérieur à la fondation du premier château fort, érigé au Xe siècle par le comte Sigefroi.

Si la forteresse de Luxembourg a été un véritable cas d’école de l’architecture militaire européenne, elle a changé maintes fois de propriétaire au cours de son existence. Des ingénieurs italiens, espagnols, belges, français, autrichiens, néerlandais et prussiens ont participé à l’extension progressive des fortifications de cette place forte. Les premières casemates furent construites en 1644, sous la domination des Espagnols. L’agrandissement des galeries souterraines longues de 23 km eut lieu 40 ans plus tard, sous la direction de l’ingénieur militaire et bâtisseur de fortifications Vauban, puis au XVIIIe siècle sous celle des Autrichiens.

Casemates de la Pétrusse © DR

Le système de défense s’étendait sur plusieurs étages et comportait des galeries creusées jusqu’à 40 m de profondeur. En raison de ces bastions impressionnants, la ville de Luxembourg fut surnommée à juste titre la Gibraltar du Nord. En 1867, la forteresse fut évacuée et dut être démantelée à la suite de la neutralisation du Luxembourg. La déconstruction dura 16 ans et les casemates furent réduites à 17 km. Vu son implantation souterraine en ville, le réseau n’a jamais pu être détruit sans endommager une large partie du tissu urbain. Plus de 1 300 plans relatifs à cet énorme réseau défensif ont été retrouvés dans les archives.

Pendant les deux guerres mondiales, les Casemates du Bock et celles de la vallée de la Pétrusse servaient d’abri et pouvaient protéger 35 000 personnes en cas d’alerte ou de bombardement. Depuis 1933, les deux casemates sont ouvertes au public. Les bastions ainsi que la vieille ville, qui ne présente pas moins d’intérêt historique, jouissent d’une renommée mondiale. En 1994, l’UNESCO les a inscrits sur la liste du patrimoine mondial.

L’extraordinaire réseau des galeries souterraines constitue aujourd’hui la première attraction de la ville. Les visiteurs plongent dans l’histoire mystérieuse des incontournables casemates qui pouvaient abriter non seulement des milliers de défenseurs, leur équipement et des chevaux, mais également des ateliers d’artillerie et d’armement, des cuisines, des boulangeries, des abattoirs et d’autres infrastructures.

Casemates du Bock © DR

Les casemates de Luxembourg – Luxembourg City Underground
Luxembourg City Tourist Office
+352 22 28 09
luxembourg-city.com
Accessibles tous les jours de l’année

EGOTARIUM – Parcours d’artiste

EGOTARIUM – Parcours d’artiste

Invitée à participer à une table-ronde lors des Rencontres Urbaines de Nancy en 2022, Aleteïa découvre la ville. Poussée par sa curiosité, elle se laisse embarquer par la séduction de Nancy. Un projet d’exposition naît alors, modestement nommé EGOTARIUM

EGOTARIUM

Une exposition d’Aleteïa, dans le cadre de RUN (Rencontres urbaines de Nancy)

Aleteïa se lance à l’assaut de la forme muséale et tente une catastérisation générale de son rapport au monde. Il y sera donc question d’égo artistique, avec distance et ironie, mais surtout de sa difficile construction quand on est une femme : comment, contre vents et marées, en plein patriarcat, devient-on Aleteïa ? Mais aussi de l’égo de l’humain du XXIe siècle et de son rapport à la nature et à son histoire contemporaine.

L’exposition propose un parcours initiatique pour devenir artiste, en franchissant les différents obstacles et épreuves jusqu’à atteindre la compréhension cosmique. Elle se décline en deux volets au musée des Beaux-arts et deux interventions dans l’espace public. L’installation dans la ville d’une œuvre in situ, Le pèlerinage du turfu, nous invitera à un voyage temporel et méditatif autour de notre avenir commun. Pour sortir de l’égo, l’artiste nous proposera de danser la couleur à l’occasion d’un grand Holi, une fête des pigments qui transformera l’espace Yves Coppens de la ville de Vandœuvre en amas stellaire collaboratif et festif.

Aleteïa, née Émilie Garnaud en 1979, est une artiste plasticienne française issue de l’art urbain. Portée par les collectifs VAO et Une Nuit, elle a commencé à poser ses constellations à Paris, dans les années 2000. Ses interventions in situ sont réalisées principalement en adhésif, à la bombe aérosol, en collage. De ses premières années, elle a gardé l’obsession de l’archétype reconnaissable au premier coup d’œil, le goût de la répétition du tagueur, le besoin d’explorer des territoires, d’avancer à la marge, en prise avec le monde qui nous entoure.

Suivant ses convictions profondes concernant la place de l’artiste dans la société, elle a décidé d’aller pratiquer son art en banlieue parisienne. Elle a ainsi travaillé entre 2007 et 2019 avec l’association Métamorphose dans le cadre des parcours d’art contemporain Loges dans la cité de la Grande Borne à Grigny (91) dans laquelle elle avait installé son atelier. Au sein de ce lieu très particulier, son travail s’est enrichi et développé en rapport et confrontation avec la cité. Elle travaille aujourd’hui dans l’Essonne.

Aleteïa conçoit son travail comme un laboratoire de mythologie urbaine. Il fait écho à la géopoétique de Kenneth White : « la géopoétique est une théorie-pratique transdisciplinaire applicable à tous les domaines de la vie et de la recherche, qui a pour but de rétablir et d’enrichir le rapport Homme-Terre depuis longtemps rompu ».

Autour de l’exposition

> Visite accompagnée du Pèlerinage du Turfu samedi 6 avril à 14 h, démarrage place Stanislas.

Visites guidées d’EGOTARIUM par l’artiste Aleteïa au musée des Beaux-Arts de Nancy dimanche 7 avril à 15 h, et les dimanches 23 juin et 1er septembre à 15 h par Susana Gállego Cuesta.

Inauguration du Grand Holi vendredi 12 avril à 18 h 30, devant l’espace Coppens à Vandœuvre-lès-Nancy

Ex-voto les chevelures de bérénice, acrylique sur bois 50×70 cm, 2023 © Aleteïa

Musée des Beaux-Arts – Nancy
3 place Stanislas
musee-des-beaux-arts.nancy.frrun.nancy.fr
10 € – 7 € – Gratuit -26 ans
Tous les jours sauf mardi de 10 h à 18 h
Du 6 avril au 1er septembre

Seconde naissance

Seconde naissance

Lieu de rencontre entre les habitants et le livre dans toutes ses dimensions, lieu de création et de partage, la Médiathèque Manufacture de Nancy rouvre ses portes au public après deux ans de travaux et trois mois de fermeture. Elle offrira de nouveaux espaces et de nouveaux services, avec deux axes importants : la recommandation et la participation de son public.

ouverture de la Médiathèque Manufacture

Le deuxième volet de modernisation de la médiathèque, porté par la Ville de Nancy, pour un montant de 4 M €, a permis d’aménager les espaces adultes afin d’accompagner au mieux le public dans sa pratique numérique et pour que chacun puisse exprimer sa propre créativité artistique. Les travaux s’inscrivent dans le dispositif de Bibliothèque Numérique de Référence, créé par le Ministère de la Culture, qui permet d’accompagner les projets innovants des bibliothèques des collectivités locales. Cette ouverture s’accompagnera d’une gratuité d’inscription pour les Nancéiens.

Les objectifs du projet portaient sur l’amélioration du confort des espaces et sur la baisse de la consommation d’énergie. Les espaces adultes ont été profondément remaniés pour créer des lieux de convivialité. Le deuxième étage, consacré aux collections jeunesse, a fait l’objet d’interventions plus légères de remise aux normes et de rafraîchissement.

Week-end festif

Pour fêter la réouverture de la médiathèque. Le samedi, ce sera la fête à tous les étages. Le dimanche, les visiteurs auront un condensé en une journée de ce que la Médiathèque Manufacture offrira ensuite chaque week-end : numérique, jeunesse, spectacles (théâtre), recommandation au Bar à Livres…

>Samedi 6 avril

10 h : Les Tapageurs, fanfare énergique reliant la Place Stanislas à la Médiathèque / 11 h : Inauguration après rénovation par Josiane Chevalier, Préfète de la Région Grand Est, Mathieu Klein, Maire de Nancy, Président de la Métropole du Grand Nancy, et Bertrand Masson, Adjoint au Maire, délégué à la culture, au patrimoine, aux métiers d’art et aux grands événements / 10 h à 18 h : La Battle de Meeples, Cours Wresinski. Jeu décoiffant sur la culture urbaine nourri de l’art nancéien / 10 h à 18 h : Un château lointain, oeuvre collaborative avec Marianne Thibault et la cie La Gigogne dans le hall. Les vitraux de cette construction éphémère seront le fruit de l’imagination des habitants, dessinée par IA, avec l’aide de techniciens de grande taille / 10 h 30, 11 h, 11 h 30, 14 h, 14 h 30, 15 h, 15 h 30, 16 h, 16 h 30, 17 h et 17 h 30 : Créer un film d’animation, atelier avec Jeannie Brie pour les 6-12 ans dans le Cube 1. Le monde magique du film d’animation grâce à la table Mashup, un banc de montage vidéo ludique et intuitif / 10 h 30, 11 h 30, 14 h, 15 h 30 et 17 h : La réalisation, atelier avec Laurent Fride, ado/adulte dans le Vidéolab. Création d’une vidéo mémorable en un temps record / 14 h : Au pays des sons, spectacle avec François Liuzzo dans le Cube 2. Chansons, histoires, instruments et objets insolites / 14 h 15 : Le Petit Nicolas en musique, lecture musicale dans Le Boucan. Des histoires drôles et légères / 14 h 30, 15 h 30 et 16 h 30 : Minos, spectacle avec Mathieu Epp pour les 8-14 ans dans l’Espace jeunesse. Guidés par un conteur, ils seront aux commandes du jeu / 14 h 30, 15 h 30 et 16 h 30 : L’homme-orchestre, concert avec Santiago Moreno dans le Bar à livres. Humour et poésie déambulent avec ce musicien-marionnettiste argentin / 14 h 45, 15 h 30, 16 h 30 et 17 h 15 : Créa’sons, atelier avec François Liuzzo pour les 3-10 ans dans le Cube 2. Ils créeront et manipuleront des objets sonores / 15 h : Battle BD animée par Damien Pérez dans Le Boucan. Aux dessins : Clémence Perrault vs Libon. Aux notes : Pierre Boespflug. Aux votes : le public / 17 h : Musiclab All Stars – Musique improvisée dans Le Boucan. Le nouveau Musiclab se dévoile entre les mains d’Adrien Beaucaillou et ses invités / 18 h 15 : Tess Wassila, DJ set dans le hall. Éclairage musical de l’oeuvre collaborative.

> Dimanche 7 avril

14 h à 18 h : Métaquest 3, à partir de 10 ans dans le Cube 1. Les visiteurs plongeront dans la réalité mixte, augmentée et virtuelle avec ce casque de dernière génération / 14 h 15, 14 h 45, 15 h 15, 15 h 45, 16 h 15, 16 h 45 et 17 h 15 : Chatouillis d’ouïe de la compagnie À l’instant, pour les enfants à partir de 5 ans. Rendez-vous dans l’Espace jeunesse pour une immersion sonore et sensorielle / 14 h 15 et 16 h 15 : Robot Ozobot, atelier parent/enfant dès 7 ans pour programmer des robots en dessinant dans le Cube 2 / 14 h 15 : Battle Clown-BD, spectacle avec Sylvain Moizie and co dans Le Boucan. La bande dessinée est-elle grotesque ou sont-ce les clowns qui s’en donnent à coeur joie ? / 14 h 15 et 16 h 15 : Ludovic Füschtelkeit, expert en tout, propose une visite insolite de 45 minutes, rendez-vous dans le hall. Spécialiste sur commande, il vous embarque pour une visite déjantée des espaces, et au Bar à Livres pour une découverte des collections / 15 h 30 : Les Bonnasses, théâtre par la compagnie Les Bonnasses dans Le Boucan. Du cartoon, du théâtre de tréteau, des lettres et du punk : pièce pour une valise et 3 comédiennes survoltées / 17 h 30 : Couleur.S trio, concert dans Le Boucan. Jazz d’écriture et d’impro, du formel et du sensible, de l’imagination et de la poésie, pour se quitter sur un spectre infini de couleurs.

Le piano à queue numérique et acoustique du Boucan © DR

10 rue Baron Louis
+(0)3 83 39 00 63
nancy.fr/bibliothèques
Réouverture le 6 avril à 10 h4