Un événement, un organisateur, un lieu ou une structure ne figurent pas sur notre site. Connectez-vous à votre compte ou créez-le gratuitement, pour publier vos informations et les modifier à tout instant.
À Haguenau, la 32e édition de l’Humour des Notes se pare d’une ambiance olympique. Tour d’horizon du programme avec Catherine Leininger, directrice adjointe du Relais culturel.
Près de 60 compagnies et 220 événements mêlant arts de la rue et humour musical sont prévus. Quelles sont les nouveautés ?
En 2024, notre rendez-vous En forêt se déroule sur deux jours, au lieu d’un seul. Spectacles et animations sont à retrouver autour du Gros Chêne, notamment les balades en nature parodiées de la Structure territoriale de recherche intégrée sur la nature globale, dite La S.T.R.I.N.G. À travers cette représentation, planifiée jeudi 9 mai, la compagnie Mycellium cherche à sensibiliser le public à la biodiversité. Le même jour, les artistes du Talon rouge organisent une promenade à vélo, depuis la gare de Haguenau. Elle durera deux heures et sera ponctuée de pauses théâtrales. C’est un planning sportif, clin d’œil aux Jeux Olympiques !
Pour se reposer, des coins détente parsèment justement le Village des Enfants, l’espace famille situé square Vieille-Île.
Exactement. La Zab, c’est-à-dire la zone à bouquiner, est également une nouvelle venue. La Médiathèque de la ville met par exemple à disposition une sélection de livres, gratuitement. Nous retrouvons par ailleurs la Zaac, zone d’animations et ateliers créatifs, et la Zapp, zone à pique-niques partagés. Les festivaliers sont invités à se restaurer sur place. Une buvette solidaire s’y trouve aussi.
Cette année, le festival compte parmi les manifestations exemplaires du territoire. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ?
Nous avons atteint le niveau 3 de la Charte d’engagement d’Éco-Manifestations Alsace, inscrivant ce rendez-vous dans une forte démarche de développement durable. Cet engagement passe par le réemploi constant de matériaux scénographiques. Nous réutilisons ainsi du mobilier en palettes au Village des Enfants, tout comme des flèches signalétiques en bois, créées il y a quelques années. Certains de nos jeux géants sont également réalisés en recyclant des bottes et chaussures. Sur notre lieu de restauration, nous faisons appel à La Graine, un restaurant associatif local valorisant le circuit court, et dont le personnel est en situation de réinsertion. De plus, au niveau des artistes, nous nous efforçons de les faire venir en train et de limiter leurs déplacements une fois sur place. Lorsqu’ils sont originaires du Québec, comme c’est le cas avec le Quatuor Stomp, c’est d’autant plus un challenge. Dans ce cas, nous tentons de les repérer quand ils sont en France, afin de mutualiser les trajets. Par ce genre d’actions, nous essayons de faire toujours un peu mieux au fil du temps.
C’est lalamour !
Conquérantes, espiègles et plus envoûtantes que jamais, Les Divalala marquent une nouvelle fois de leur griffe unique les hits de Johnny, Nougaro, Soprano, Oldelaf, Bashung, Elsa… Ces trois voix a cappella nous saisissent avec délicatesse, entre humour, légèreté et émotion.
20 h 30 – Samedi 4 mai
Anthologie ou presque
Trois chanteuses, deux musiciens, dix-sept chansons, le meilleur de leur répertoire pour celles et ceux qui n’ont pas encore eu la chance de partager le grand frisson, le clin d’œil et la gouaille des Sea Girls…
20 h 30 – Mardi 7 mai
The Party
Il y a 10 ans, dans les bas-fonds industriels du bassin grenoblois, naissaient les ateliers du Big Ukulélé Syndicate, chaîne de fabrication de musique déjantée autour de ce petit instrument loufoque et ludique.
20 h 30 – Mercredi 8 mai
Eau chaude à tous les étages Quatuor Ariane – 1955. Ouverture du Salon des Arts Ménagers. En pleins préparatifs, quatre employées de l’Hôtel Moderne nous livrent leurs vies, leurs espoirs, leurs luttes.
20 h 30 – Jeudi 9 mai
Titanic
La plus ou moins véritable histoire du célèbre naufrage revue à la façon des Moutons Noirs ! Une comédie délirante, loufoque et musicale avec le bateau qui coule quand même à la fin…
20 h 30 – Vendredi 10 mai
Le PICelectroNIC, festival familial emblématique des Rotondes, est de retour pour sa 13e édition et promet de faire grand bruit les samedi 20 et dimanche 21 avril prochains. Cette année, l’événement tire son inspiration de la mobilité douce et propose une multitude de concerts, de spectacles déjantés, d’installations interactives et d’ateliers créatifs en tout genre.
PICelectroNIC
Pour cette nouvelle édition, le PICelectroNIC offre une programmation riche, avec un grand nombre d’événements originaux à découvrir pendant tout le week-end.
L’ensemble du site des Rotondes se transformera en un vaste terrain d’explorations pour faire le plein de bonne humeur.
Dans la Grande Salle, le public découvrira le premier concert familial de Ouai Stéphane ainsi que le concert dessiné de cette édition. Ce dernier réunit Napoleon Gold et KLEIN, accompagnés par l’illustratrice Viktoria Mladenovski qui dessinera en direct au rythme des mélodies. Le tout sera complété par un concert de Ourk qui donnera sans aucun doute des fourmis dans les jambes des visiteur·euse·s.
À la Rotonde 2, on s’attend à un univers à la fois joyeux et inventif, avec un concert de l’artiste multi-instrumentiste ICHI ainsi que la présentation de son installation interactive Tobogan Gakki.
On retrouve une tout autre ambiance au Klub avec la siffleuse Molly Lewis, dont le nom est sur toutes les lèvres depuis la sortie de son nouvel album On the Lips. Note après note, elle embarquera chacun·e au sein d’un voyage sonore captivant, avec même un mini workshop pour clore le tout.
Sur le reste du site et pendant tout le week-end, on peut également s’attendre à découvrir un nombre impressionnant d’installations ludiques et déjantées : passage obligé par le CirQmatiQue Super3000 pour un moment immersif dont chaque enfant ressortira métamorphosé.
Il est évidemment aussi recommandé d’assister à la représentation du Museklabo le dimanche, pour découvrir un étonnant instrument à vent, entièrement reconstruit par les participant·e·s de l’atelier pour enfants organisé pendant les vacances de Pâques.
Mais au milieu de l’effervescence du festival, il sera également possible d’appuyer sur « pause » et de profiter de bulles de calme avec par exemple le ciné-concert Doggo orchestré par Ellie James de la compagnie L’Armada Production ou avec une Sieste Musicale après laquelle petit·e·s et grand·e·s seront à nouveau chargé·e·s à bloc pour profiter de toutes les autres activités !
Enfin, pour les plus manuel·le·s, on fonce vers la Plateforme pour découvrir le « garage » et participer à divers ateliers tels que le déjà bien connu Pimp my Doudou ou le Pimp My Ride pour personnaliser sa poussette, sa trottinette ou son vélo, le tout en utilisant des matériaux recyclés.
À partir de 3 ans Renseignements et billetterie +352 2662 2030 – tickets@rotondes.lu Programme complet sur rotondes.lu
Pass 1 jour : 12 €
Pass week-end : 20 €
Entrée gratuite sans ticket pour les enfants de moins de 3 ans.
14 h à 19 h – Samedi 20 avril
10 h à 18 h – Dimanche 21 avril
Intergénérationnel, joyeux et participatif, le festival international jeunes et tous publics À pas contés revient à grands pas, du 9 au 23 février, avec au programme de cette 24e édition une vingtaine de spectacles, dont la moitié sont des créations.
Un temps fort du spectacle vivant qui a attiré 8 000 personnes l’an passé, où compagnies nationales et internationales sont à l’honneur, entre spectacles de marionnette, théâtre, danse, musique et lectures, rythmés par différents moments de partage lors d’ateliers, goûters, masterclass et expositions prévus dans la Métropole Dijonnaise ainsi qu’en milieu rural, au sein de la Communauté de communes du pays d’Arnay Liernais et pour la première fois à Saint-Seine-l’Abbaye : « Ce projet concerne plusieurs écoles du canton, où élèves et enseignants pourront voir le spectacle Bibliothé-Claire, de la compagnie norvégienne Sagliocco Ensemble », annonce Sandrine Cambon, coordinatrice du festival.
L’Arbre à souhaits Le public est invité à un Bal marionnettique inaugural, à la salle Devosge, où sera exposé l’Arbre à souhaits, œuvre du plasticien Benjamin Grivot sur laquelle seront suspendus les voeux des participants pour un avenir meilleur. Le fil conducteur de cette édition est en effet inspiré de la citation suivante, extraite de la pièce Le poids des fourmis, de David Paquet : « Croire que je peux agir sur le monde me donne l’envie d’en faire partie ». L’équipe du festival espérait cette collaboration depuis longtemps avec la compagnie Bluff : « Leur vision résume bien ce que l’on a envie de proposer aux jeunes, c’est-à-dire de réfléchir au monde tel qu’il est : lorsque je regarde le monde, dois-je forcément être pessimiste, ou est-ce que l’optimisme à l’heure actuelle témoigne d’une forme de déni ? ». Cette réflexion philosophique, David Paquet l’a menée avec des collégiens et des personnes plus âgées dont les réponses ont été compilées dans un manifeste adressé à la presse et aux élus en clôture de la manifestation.
Du rêve à la réalité… Après la venue en décembre dernier de Faustine Noguès pour Surprise Parti, son spectacle autour de l’engagement politique d’Angela Davis, la metteuse en scène sera de nouveau présente pendant le festival avec Moi c’est Talia, questionnant l’esprit rêveur et ce dont est constitué le cours des pensées à l’état méditatif. « Ce qui nous intéresse, c’est de montrer la relation qui existe entre un spectacle jeune public et un spectacle tout public que l’on programme pendant la saison », développe Sandrine Cambon. Unearticulation qui s’opère dans cette édition en dessinant la trajectoire de l’utopie au champ des possibles et à leur concrétisation.
Cette édition philanthropique puise ainsi dans l’imaginaire de chaque génération la formule d’un futur réinventé, plus optimiste et libéré de ses chimères collectives, dont on entrevoit les pré-figurations bienveillantes au travers des illustrations fantasmagoriques de la charte graphique du festival, signée par Nicolas Baguet.
24e festival international jeune et tous publics Billetterie : +33 (0)3 80 30 98 99 abcdijon.org
Inauguration vendredi 9 février à 19 h 30 (salle Devosge) Du 9 au 23 février
Cherchant à promouvoir la danse sous toutes ses formes et à la rendre accessible au plus grand nombre, le festival Décadanse revient pour une troisième édition dans les relais culturels des Scènes du Nord. Sophie André, directrice de La castine (Reichshoffen), présente le programme.
Cette année, des ateliers et bord plateau font leur apparition dans le festival Décadanse. En quoi consistent-ils ?
La castine accueille effectivement un rendez-vous qui s’appuie sur Les Joues roses, le spectacle présenté par notre structure. En quelques mots, cette proposition étudie le thème de la transmission, en particulier d’une mère à une autre mère. Pour l’illustrer, les deux danseuses présentes sur scène utilisent des poupées russes, les déboitant au fur et à mesure, jusqu’à atteindre la plus petite d’entre elles. Les comédiennes changent aussi de costumes au fil de la représentation, dans un jeu de lumières très doux et poétique. Nous avons voulu garder cette atmosphère en proposant un atelier parent-enfant, afin d’explorer encore plus en détails la relation entre la danse et les personnes.
La Compagnie EZ3, déjà à l’affiche l’année dernière, est de retour… et pour encore un moment !
Oui, leur résidence devait s’achever cette année, mais les artistes sont finalement reconduits pour trois ans supplémentaires. Ils rejouent leur pièce contemporaine Heres : Nel nome del figlio, s’appuyant toujours sur la participation de danseurs amateurs. L’union entre chorégraphie et musique est une façon d’amener le public à s’intéresser à la danse. L’œuvre de cette compagnie inclut justement des percussions, afin d’examiner, cette fois, les relations père-fils.
La filiation semble au cœur de cette nouvelle édition. Est-ce une coïncidence ?
C’est assez drôle, car nous avons réalisé qu’un certain fil rouge se dégageait des tableaux que nous avons choisis. Pourtant, cela a vraiment été un pur hasard ! Qu’il s’agisse de la MAC de Bischwiller, de l’Espace Rohan à Saverne, de La Saline à Soultz-sous-Forêts, du Relais culturel de Haguenau ou de La castine, nous avons fait notre sélection chacun de notre côté. Cette année, exceptionnellement, il manque les spectacles du Relais culturel de Wissembourg, qui ont dû être annulés.
La programmation n’en reste pas moins riche et diversifiée.
Effectivement, et c’est un des critères du festival. Le but est vraiment d’essayer d’intéresser les gens en mélangeant les genres. Dividus est par exemple davantage destiné aux adultes. Il met également en scène sept danseurs, donc il existe cet aspect de groupe qui, à mon sens, est plutôt attrayant. Rock it Daddy plonge dans une énergie folle, alliant hip-hop et danse urbaine avec brio. Giselle, pour sa part, est un ballet sur grand écran. Quant à Deux riens, il s’attarde sur des mimes clownesques. On fait le grand écart avec ces huit spectacles, et c’est le but.
Les 23, 24 et 25 novembre, pour célébrer ses 35 ans d’activités cinéphiliques à Metz et ses festivals Cinéma et Musique, Ciné Art recevra un invité tout à fait exceptionnel, Serge Rezvani.
Pour l’édition 2023, Serge Rezvani a accepté par amitié de venir présenter des films pour lesquels il a composé des chansons qui ont fait le tour du monde : Le tourbillon de la vie dans Jules et Jim de François Truffaut, Jamais je ne t’ai dit que je t’aimerais toujours dans Pierrot le fou de Jean-Luc Godard, Lili gribouille dans Dragées au poivre de Jacques Baratier et tant d’autres.
Il racontera sa vie et son enfance apatride, son œuvre littéraire, ses rencontres avec la nouvelle vague cinématographique des années 60-70, et présentera l’album Chansons pour Lula qui rassemble, autour de 16 titres inédits, de grands artistes de la scène française actuelle : Dominique A, Philippe Katerine, Léopoldine HH, Vincent Dedienne et Cali. Léopoldine HH, l’une des révélations de cet album, sera en concert avec ses musiciens avec des chansons de Rezvani. Natalie Akoun, comédienne, est leur invitée. Françoise Canetti, productrice de l’album, sera également présente.
La Fête à Rezvani
Jeudi 23 novembre
À 18 h 30 (Café La Jehanne, place Jeanne d’Arc), rencontre littéraire et musicale avec Françoise Canetti. Celle qui a passé son enfance dans les coulisses du théâtre des Trois Baudets, vous plongera dans l’univers de son père, Jacques Canetti, immense producteur musical qui a révélé de grands artistes de la chanson française tels que Brassens, Brel, Béart, Gainsbourg, Mouloudji, Reggiani, Higelin… mais aussi Raymond Devos et Jeanne Moreau chanteuse.
Elle signera son livre Brassens l’appelait Socrate où elle évoque l’histoire de son père, et parlera aussi de ses oncles Elias Canetti, écrivain d’expression allemande et prix Nobel de littérature 1981, et Georges Canetti, chercheur et professeur à l’Institut Pasteur. En partenariat avec Les journées européennes de la culture juive (JECJ).
À 20 h 30 (Cinéma Klub), carte blanche cinématographique à Serge Rezvani, qui a choisi de présenter To be or not to be, le chef d’œuvre d’Ernst Lubitsch (1942). À Varsovie en 1939 durant l’occupation nazie, tandis que le grand acteur Joseph Tura attaque le monologue d’Hamlet, le lieutenant d’aviation Sobinski rejoint la belle épouse de Tura, Maria.
Vendredi 24 novembre
À 19 h (Cinéma Klub), projection du film documentaire L’Enigme Rezvani de Gloria Campana (2003). Une rencontre exceptionnelle autour de ce moyen métrage nous fera découvrir Serge Rezvani, l’artiste « in disciplinaire », sa peinture et sa relation distanciée au monde marchand de l’art. Mais aussi une vie où il se livre sur sa relation fusionnelle avec sa femme, Lula, pour laquelle il a écrit toutes ses chansons.
À 20 h (Cinéma Klub), échange entre le public et Serge Rezvani à propos du documentaire et du film de la soirée.
À 20 h 30 (Cinéma Klub), projection de Pierrot le fou de Jean-Luc Godard (1965), avec Jean-Paul Belmondo et Anna Karina, où figurent 2 chansons de Serge Rezvani, Ma ligne de chance et Jamais je ne t’ai dit que je t’aimerai toujours… Certainement l’un des films de la nouvelle vague ayant passé le mieux l’épreuve du temps. Serge Rezvani parlera de sa relation « singulière » avec Godard, évoquera les autres cinéastes avec lesquels il a travaillé, et son émotion à voir un jeune cinéaste comme Xavier Dolan inclure la superbe chanson Ni trop tôt, ni trop tard dans son film Laurence anyways.
Samedi 25 novembre
À 18 h (Musée de la Cour d’or, 2 rue du Haut Poirier), rencontre avec Serge Rezvani autour de son œuvre littéraire. Lecture de textes de Rezvani par une comédienne (sous réserve). En partenariat avec la librairie Autour du monde.
À 20 h (Église Saint Maximin, 65 rue Mazelle), concert de Léopoldine HH. Comédienne, interprète, compositrice, musicienne, elle met sa singulière liberté au service des chansons de Rezvani, prolongeant ainsi joyeusement la petite et la grande histoire. Natalie Akoun, comédienne, est l’invitée de Léopoldine HH. Elle écrit actuellement un spectacle avec et sur Serge Rezvani autour de ses textes et de ses chansons, et en interprètera 3 lors de la soirée. Sous réserve, Serge Rezvani accompagnera Léopoldine et Natalie dans une ou 2 de ses chansons.
Informations et réservations : Michel Noirez
+33 (0)6 78 71 77 93 – michel.noirez2@orange.fr
Ciné Art – Metz
Festival Cinéma et Musique
Carte blanche à Serge Rezvani
Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
Fonctionnel
Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.