Avec le seul en scène Lovefool et les concerts du Luxembourg Philharmonic et du Naghash Ensemble, le CAPE d’Ettelbruck mélange les genres…
Luxembourg Philharmonic
Musique Tatsiana Zelianko : Exolandscape (création, commande Ministère de la Culture) Ludwig van Beethoven : Concerto pour piano n° 4 op. 58 Ludwig van Beethoven : Symphonie n° 4 op. 60 Avec Elisabeth Brauß au piano et Ustina Dubitsky à la baguette, ce sont deux musiciennes d’exception, originaires d’outre-Rhin, qui portent ce concert saisonnier de l’Orchestre Philharmonique du Luxembourg au CAPE d’Ettelbruck. Saluée pour la maturité et le raffinement de ses interprétations, la jeune pianiste Elisabeth Brauß impressionne la critique. Quant à la cheffe Ustina Dubitsky, elle dirige aujourd’hui des orchestres prestigieux à travers l’Europe. 20 h – Jeudi 13 novembre
Lovefool
Théâtre Lovefool est un seul en scène autour de Grace, une jeune femme en quête d’affection, qui cherche l’amour aux mauvais endroits et se voit contrainte de découvrir à quoi pourrait ressembler un amour (de soi) sain. Gintare Parulyte explore avec vulnérabilité et humour les effets de la masculinité toxique et des inégalités, ainsi que ceux d’une vie régie par des attentes de genre si confuses qu’elles en deviennent impossibles à comprendre et encore moins à apprécier. Lovefool est à la fois déchirant et hilarant. 20 h – Jeudi 20 et vendredi 21 novembre
Naghash Ensemble
Musique Avec ce concert de Noël, les musiciens arméniens du Naghash Ensemble, sous la direction du compositeur John Hodian, tissent un pont unique entre tradition et modernité. Inspiré par la poésie arménienne du Moyen Âge et d’aujourd’hui, Hodian crée une musique fascinante qui réinvente avec émotion la profondeur spirituelle du plus ancien pays chrétien au monde. Une œuvre envoûtante qui fait resplendir la mystique d’un Noël arménien sous un jour nouveau. 20 h – Mardi 9 décembre
CAPE – Centre des Arts Pluriels Ettelbruck +352 26 81 26 81 cape.lu
Organisé par le Département de Meurthe-et-Moselle et GESCOD dans le cadre du Festival des Solidarités, le Marché du Monde Solidaire est depuis plus de 20 ans un rendez-vous festif, familial, engagé, où la solidarité s’invite dans chaque échange, chaque découverte.
Marché du monde solidaire
Bien plus qu’un événement, c’est un véritable observatoire engagé et une fenêtre ouverte sur l’état du monde qui nous entoure avec ses richesses, ses forces mais aussi ses injustices et ses faiblesses.
Le Marché du Monde Solidaire est un carrefour vivant où se croisent citoyennes et citoyens curieux, associations passionnées et porteurs de projets concrets. Ensemble, ils font battre le cœur d’une solidarité internationale à visage humain.
Près de 80 associations locales investies dans de nombreux pays du globe seront au rendez-vous. Venez découvrir leurs actions, échanger avec leurs membres et voyager à travers leurs histoires, leurs combats et leurs espoirs pour un monde plus juste, ici comme ailleurs.
Le thème de cette 24e édition – Cuisines du monde et transmission : 1 000 saveurs pour un monde solidaire – promet une édition haute en couleurs et en émotions. Car derrière chaque plat se cache bien plus qu’une recette : il y a un héritage, une identité, une mémoire, un patrimoine humain.
> Samedi 15 novembre
11 h à 17 h – Ateliers cuisine et vente de légumes animés par Lortie Malzéville
14 h 30 et 15 h 30 – Contes par Innocent Yapi (30 min)
16 h 30 à 18 h – La cuisine peut-elle changer le monde et rapprocher les cultures ?, table ronde avec Charles Coulombeau, chef cuisiner étoilé à La Maison dans le Parc (Nancy), Najwan Darwish, poète palestinien et Philippe Lepape, Maire de Thorey-Lyautey.
19 h – Pur créole ou La véritable histoire du Rougail Saucisse, repas-spectacle dès 6 ans avec la cie Histoire d’Eux (5 €).
> Dimanche 16 novembre
10 h 30 à 17 h 30 – Radio Graffiti en direct sur 101.5 FM et radiograffiti.fr
14 h – Concert Chorale Chepfer (45 min)
14 h à 16 h – Lectures d’albums jeunesse avec Lire et faire lire (dès 4 ans)
15 h à 17 h – Jeux coopératifs avec le Mouvement pour une Alternative Non-violente
16 h 30 – Le Goûter Insolent, animation gustative et participative avec le CCFD-Terre Solidaire
> Tout le week-end
C.R.S. : Clowns Résolument Sympathiques, avec l’équipe clowns du Mouvement pour une Alternative non-violente
Où est le cuistot ?, jeu de piste des recettes de cuisine.
Hôtel du Département – Nancy 48 esplanade Jacques-Baudot meurthe-et-moselle.fr – gescod.org Entrée libre 11 h à 18 h – Samedi 15 novembre (+ soirée festive à 19 h) 10 h à 18 h – Dimanche 16 novembre
En 2025, la Semaine Européenne de la Réduction des Déchets devient le Mois de la Réduction des Déchets ! Pour la 16e année, l’Eurométropole de Metz participe à la SERD et bien plus afin de partager des solutions concrètes et donner à chacun les clés pour agir. Du 1er au 30 novembre, avec ses partenaires, elle propose de nombreux ateliers et animations. Gratuits, ludiques, ils offrent aux habitants la possibilité d’apprendre et de découvrir des gestes simples pour réduire leurs déchets et agir en faveur de l’environnement.
Le mois de la réduction des déchets
> Grandes collectes Vélos à l’ESAT L’espoir à Marly, appareils électriques et électroniques HS à la mairie de Pouilly, livres à l’Atelier des talents et la MJC 4 Bornes à Metz. Du 1er au 30 novembre
> Visio conférence Zéro gaspi alimentaire, c’est possible ! 18 h à 19 h – Mercredi 5 novembre
> Repair’café 17 h à 20 h – Vendredi 14 novembre (Salle des fêtes CSC Gilbert Jansem
de Marly)
17 h à 20 h – Lundi 17 novembre
(MJC 4 Bornes de Metz)
> Bourse aux jouets et puériculture / Salle des fêtes CSC Gilbert Jansem de Marly Du 14 au 16 novembre
> Permanence compostage / Services techniques de Montigny-lès-Metz
Retirez votre matériel et profitez de conseils en compostage et paillage. 10 h à 16 h – Samedi 15 novembre
> Atelier recettes anti-gaspi 14 h à 18 h – Mercredi 19 novembre (Centre Jules Ferry de Moulins-lès-Metz) 14 h à 18 h – Mercredi 26 novembre
(Mairie d’Ars sur Moselle) 14 h à 17 h 30 – Samedi 29 novembre (L’Agora Metz) 14 h à 18 h – Mercredi 3 décembre (Centre socio culturel le Ruban au Ban-Saint-Martin)
> Tout savoir sur mes appareils et comment les garder plus longtemps 17 h à 18 h 30 – Vendredi 21 novembre
(Le Cap Metz) 17 h à 18 h 30 – Lundi 24 novembre
(Les Récollets Metz) 18 h 30 à 20 h – Mardi 25 novembre
(Mairie de Plappeville)
> Balade compostage de quartier à Metz 14 h 30 – Samedi 22 novembre (départ site de compostage de quartier rue de la Boucherie Saint-Georges)
> Portes Ouvertes à l’Atelier des Talents à Metz
Découvrez la filière de réemploi et recyclage des livres et ses acteurs. 9 h à 12 h et 13 h à 15 h 30 Mercredi 26 novembre
> Atelier cuisine zéro déchets 14 h à 17 h – Mercredi 26 novembre (CSC Gilbert Jansem à Marly)
> Découverte des couches lavables 9 h 30 à 11 h – Jeudi 27 novembre (Brico Bornes à Metz)
> Fabrication de cosmétiques zéro déchets 14 h à 16 h – Vendredi 28 novembre
CSC Gilbert Jansem à Marly)
Rires et chansons sont au programme du mois de novembre à Yutz.
Alain Chamfort
Il interprète les titres de l’album L’impermanence, mais aussi des pépites moins connues des précédents opus, sans oublier quelques incontournables, revisités dans de nouveaux arrangements. 20 h 30 – Jeudi 13 novembre
Jenifer
Après le lumineux et exaltant n°9 Tour, Jenifer revient sur scène pour partager un moment unique et intime autour de son répertoire avec le Jukebox Tour. Et c’est vous qui choisissez la playlist ! 20 h 30 – Jeudi 20 novembre
Duo Minstrels
La musique classique de Claude Debussy et Gabriel Fauré rencontre les airs d’opéra de Leonard Bernstein en explorant l’univers jazzy des tangos d’Astor Piazzolla, Richard Galliano et Gorka Hermosa. 20 h 30 – Vendredi 21 novembre (Salle Bestien)
Jérémy Nadeau
Humour – Ce spectacle déjà incontournable, alliant blagues hilarantes et présence scénique inimitable, raconte son histoire, mais aussi un peu la vôtre. 20 h 30 – Mardi 25 novembre
Coup de bluff au cabaret
Texte et mise en scène Nicolas Vitiello Avec Jérôme Anthony, Franck Lebœuf, Nicolas Vitiello Après de belles années de gloire, et malgré l’aide de Céleste, meneuse de revue à la retraite, le cabaret des frères Claude et Michaël est en faillite. Une comédie hilarante, un vrai show cabaret mêlant chant, danse et féerie. 20 h 30 – Mardi 2 décembre
Ferdi
Avec ses sonorités uniques alliant jazz, indie-pop et une aisance remarquable, l’artiste ne cesse de conquérir de nouveaux horizons. 20 h 30 – Mardi 9 décembre
l’amphY & Salle Bestien – Yutz l’amphY • 126 rue de la République Salle Bestien • 2 rue de la République lamphy.ville-yutz.fr +33 (0)3 82 56 14 15 lamphy@mairie-yutz.fr
Connue pour son humour piquant et son audace, Marie s’infiltre se lance pour la première fois à l’assaut des Zénith avec Culot, un spectacle hybride qui mêle humour, chant, poésie et danse. Avant de la retrouver sur scène, Spectacles a pu s’entretenir avec elle pour une interview sans détour. #Anaïs Henry
Vos vidéos d’infiltration ont marqué les réseaux sociaux. Qu’est ce qui vous a donné envie de passer de l’écran à la scène ? J’ai fait l’écran pour la scène. Commencer par tourner des vidéos a été un moyen de gagner en visibilité pour avoir mon public avec le spectacle. Donc je ne suis pas passée de l’écran à la scène, ça a toujours été un moyen pour moi.
Pourquoi Culot ? Que voulez-vous que ce mot déclenche chez vous, sur scène et chez le public ? Un grand élan de liberté, une capacité à passer à l’action, une sorte de force en nous qui pourrait être un peu parfois refoulée, éteinte et que le spectacle viendrait libérer. C’est la force d’oser, c’est la force d’agir, c’est la force aussi d’affirmer qui on est et d’exister.
Humour, danse, chanson, poésie, votre spectacle brouille un peu les codes traditionnels et mélange plusieurs styles… Je ne choisis pas les choses comme ça. Je fais exactement ce que j’aime, et je déteste les cases. Je déteste les catégories. Je trouve qu’il n’y a rien de plus con que de s’enfermer dans un genre. Et donc je m’essaye à plein de genres différents. Enfin «je m’essaye»… après me voilà en train de travailler comme une acharnée pour apprendre à danser, à chanter, etc. J’aime avoir une palette de moyens d’expression différents.
Vous dites vouloir libérer le public de la honte. Pouvez-vous nous expliquer ce que cela signifie concrètement dans le spectacle ? Et ce que vous espérez que ça déclenche dans le public ? Alors je ne vous dirai absolument pas de quoi il s’agit exactement dans ce spectacle, puisque c’est une surprise, et c’est ça qui rend les choses gênantes. Mais ce que je peux dire, c’est que oui, pour moi, la honte est quelque chose qu’on vit en permanence. Toute la journée, on est gêné, on a honte, on est embarrassé, on a peur du regard de l’autre et la seule façon de pouvoir oser, c’est d’accepter cette honte, c’est d’accepter d’être ridicule. Mais j’ai envie de vous dire que ça, c’était presque plus la première version du spectacle. Parce que là c’est une version qui est nouvelle, totalement réécrite. Et on va même plus loin, c’est un spectacle qui va pousser le spectateur à se libérer de toutes ses peurs, dont la honte notamment. Mais ça y est, on a dépassé la honte, là, maintenant, on se libère des peurs et des peurs profondes. Et ça va plus loin encore.
Vous serez au Zénith de Nancy le 14 novembre avant l’Accor Arena le 20 décembre. Comment voyez-vous cette montée en puissance ? Ça va être énorme. Je crois. Je ne sais pas. J’ai du mal encore à l’appréhender. J’ai l’impression que ça va être un truc énorme. Ça va être génial, car ça peut vraiment se transformer en show à l’américaine. Je trouve ça génial d’offrir un spectacle hyper complet. Moi, perso, je sais pas encore comment je vais vivre tout ça, c’est très intimidant.
Est-ce que jouer à Nancy a une résonance particulière pour vous ? Un souvenir peut-être, un lien avec le public ? J’ai beaucoup joué Salle Poirel, qui est vraiment un endroit merveilleux, on ne va pas se mentir. Je me souviens rarement des dates parce qu’il y a quelque chose en moi quand je suis sur scène qui se focalise tellement sur le temps présent que je ne me souviens que peu des lieux, et pourtant la Salle Poirel c’est quelque chose qui m’a marquée énormément. Je me disais que ce serait génial de passer de cette salle à un Zénith, et je me réjouis à l’idée de passer ce grand cap. Et c’est vraiment un gros coup de Culot malgré tout pour moi, parce que je n’ai pas souvent joué à Nancy, même si c’est une ville que j’adore. Je me suis dit que cette fois on n’allait pas se laisser le choix.
Avez-vous déjà en tête ce que vous aimeriez explorer après Culot ou laissez-vous l’inspiration venir à vous naturellement ? J’ai plein d’idées, mais si je commence à en parler, ça va encore me stresser. Mais il y a beaucoup de choses, beaucoup beaucoup trop de choses.
