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Dans le cadre du 80e anniversaire de la libération de Pont-à-Mousson par les forces américaines du 4 au 17 septembre 1944, le musée municipal au Fil du Papier de Pont-à-Mousson consacre, du 4 septembre au 3 novembre, une exposition à cet événement majeur de l’histoire de la ville.
80e anniversaire de la libération de Pont-à-Mousson
Suite au débarquement du 6 juin 1944 et aux succès en Normandie, les forces alliées opèrent une avancée rapide et arrivent, fin août, aux portes de la Lorraine. La 3e armée du général George Patton vise l’encerclement de Nancy afin de contourner au sud les forces ennemies stationnées sur le front Metz-Thionville et à forcer le passage en direction de la Sarre. Il charge la 80e division d’infanterie du général Horace McBride de prendre trois points pour traverser la Moselle : Pont-à-Mousson avec le 317e régiment d’infanterie, Toul avec le 319e et enfin Marbache avec le 318e. La progression alliée va être lente et particulièrement meurtrière.
La libération de Pont-à-Mousson va se réaliser en deux temps. Dans la journée du 4 septembre, les premiers éléments de reconnaissance américains de la 80e Division d’Infanterie arrivent place Thiers (rive gauche). Le quartier Saint-Laurent est libéré. Le quartier Saint-Martin reste aux mains des troupes allemandes. Il faudra quinze jours aux forces américaines pour libérer la rive droite de la Moselle, le 17 septembre, et délivrer entièrement Pont-à-Mousson du joug de l’ennemi.
L’exposition retracera le déroulé de ces événements au travers de documents d’époque, de photographies, de vidéos, de plans et de cartes de l’évolution des combats.
L’exposition se localisera au sein du musée municipal et dans la chapelle de l’Institut connexe.
Et aussi : conférences, cinéma, reconstitution de camp américain (septembre à novembre) ; cérémonie patriotique mardi 17 septembre (Monument de la Résistance, place Thiers) ; Concert de la Musique de l’Arme Blindée de Cavalerie dimanche 29 septembre (Espace Montrichard).
En octobre, l’Espace K démarre sa saison de façon grandiose avecRififi, LA comédie musicale de l’année, qui vous emmènera dans 3 univers : Paris et ses cabarets, Cuba et son ambiance latino, Broadway et ses clubs au temps de la prohibition. Autant d’occasions de faire vivre en musique des lieux et des cultures !
Rififi
Création Cie Le Kafteur Livret et mise en scène : Jean-Luc Falbriard Musiques : Romaun Schmitt Chorégraphies : Pippa Simmons
Inspirée des classiques du genre de Broadway, une comédie musicale inédite avec 22 artistes sur scène (comédiens, danseurs, chanteurs, musiciens), 7 décors, 90 costumes !
Paris au début des années 1930. L’histoire d’un amour contrarié entre Vincent et Rose. Lui est chorégraphe, apprécié dans les grands music-halls de la Capitale. Elle est chanteuse dans un petit cabaret louche. Ils tombent amoureux et Vincent veut engager Rose pour son prochain spectacle. Mais elle est la fiancée de Gus, L’Élégant, le chef d’une bande de malfrats dont la spécialité est de dévaliser les spectateurs dans les théâtres bourgeois parisiens. Quand Gus, jaloux et possessif, découvre leur liaison, il s’arrange pour faire accuser Vincent d’un meurtre qu’il n’a pas commis. Ce dernier est alors obligé de fuir la France et de s’exiler. Un bateau l’emporte vers Cuba où il se laisse aller au désespoir et devient bientôt une loque errant dans les rues de La Havane. Il y rencontre par hasard Howard Smith, un homme d’affaires français ayant fait fortune en Amérique. De cette rencontre va naître un nouveau projet à New York et Broadway, mais aussi un nouvel espoir pour Vincent : revenir à Paris pour prouver son innocence, laver sa réputation et, par la même occasion, retrouver son amour.
Ce qui différencie Rififi de la majorité des productions actuelles en comédie musicale et ce qui en fait une petite soeur de celles produites à New York ou à Londres, c’est une intrigue prédominante comme dans toute pièce de théâtre. Le jeu théâtral a donc une place majeure au milieu des performances chantées et dansées. Le défi pour la mise en scène repose sur ce juste équilibre tout au long du spectacle dont le maître mot est le rythme, le rythme, le rythme ! Il faut pouvoir compter sur l’efficacité du jeu sans temps mort. Il faut également miser sur la multiplication des personnages avec un nombre réduit d’artistes et permettre des changements rapides de costumes.
« Rififi… Un vieux rêve. Celui d’offrir aux spectateurs un moment hors du temps pendant lequel ils sont parcourus d’un sentiment profondément joyeux. Entre rire et émerveillement, ils tombent amoureux des personnages, ils voyagent et, à coup sûr, ont envie, à l’issue du spectacle, de fredonner les chansons et pourquoi pas d’esquisser quelques pas de danse… »
20 h – Les 4, 5, 10, 11, 12, 17, 18, 19, 24, 25, 26, 31 octobre, 1er et 3 novembre 17 h – Dimanches 20 et 27 octobre et 3 novembre (Puis en tournée)
Espace K – Strasbourg 10 rue du Hohwald espace-k.com +33 (0)3 88 22 22 03
Cette saison encore, le Théâtre Dijon Bourgogne invite des artistes pour dire, écrire, sublimer le monde et le partager avec vous. Pour penser de nouveaux chemins et se réinventer.
Présentation de saison
Une nouvelle saison placée sous le signe «des possibles et des voix qui ouvrent des voies». 19 h – Mardi 10 septembre (Parvis St Jean)
Filles & Soie pour toutes & tous
Création – D’après Les Trois Contes de Louise Duneton – Texte et mise en scène Séverine Coulon / La directrice de
La Minoterie parle avec fantaisie et espièglerie de la féminité et de ses injonctions. Du 10 au 15 octobre (À La Minoterie, Dijon)
Sur l’autre rive (Variation théâtrale)
Le metteur en scène Cyril Teste s’inspire librement de Platonov de Tchekhov, une oeuvre chorale immorale et débordante. Les 17 et 18 octobre (À L’Espace des Arts, Chalon-sur-Saône)
Les petites bêtes
Création – Texte et mise en scène Delphine Théodore / Un conte des temps modernes qui dissèque les mécanismes pernicieux de l’emprise. Du 12 au 16 novembre (Salle Fornier)
Les grands sensibles ou l’éducation des barbares
D’après l’oeuvre de Shakespeare – Texte et mise en scène Elsa Granat / Baroque dans ses excès, la pièce est emplie de la vitalité et de la puissance des émotions enfantines. Du 26 au 30 novembre (Parvis St Jean)
La semaine des écritures contemporaines
Du 2 au 7 décembre (Salle Fornier)
Chamonix
26000 couverts – Mise en scène Philippe Nicolle / Une aventure interstellaire déjantée, hilarante et poétique. Du 4 au 7 décembre (Parvis St Jean)
Les Essentielles
Texte et mise en scène Faustine Noguès / Le spectacle, qui s’intéresse à un abattoir industriel, passe sans arrêt de la réalité crue à un espace onirique. Les 19 et 20 décembre (Feuillants)
Taire
Création – Texte, mise en scène Tamara Al Saadi / Un conte dystopique qui tisse la jeunesse d’Antigone et celle d’Eden, adolescente d’aujourd’hui. Du 16 au 24 janvier (Parvis St Jean)
Elles avant nous
Conception Leyla-Claire Rabih, Morgane Paoli / Comment se construire en tant que jeune mahoraise ? Du 4 au 8 février (Salle Fornier)
Une histoire subjective du Proche-Orient mais néanmoins valide… je pense
De et par Houda Hussein / Un stand-up qui raconte son parcours d’émancipation. Du 18 au 22 février (Salle Fornier)
Pistes…
Texte, mise en scène Penda Diouf / Une épopée qui nous fait voyager dans les méandres de la mémoire et nous fait entendre les voix minoritaires. Du 11 au 15 mars (Salle Fornier)
Qui a besoin du ciel
Texte Naomi Wallace – Mise en scène Tommy Milliot / Une pièce qui plonge dans les blessures de l’Amérique et scanne les relations familiales. Le 15 mars (au Nouveau Théâtre Besançon)
Qui som ?
Conception et mise en scène Camille
Decourtye, Blaï Mateu Trias – Baro d’Evel / Une douzaine d’artistes de tous horizons et toutes disciplines partagent une expérience drôle et festive. Du 19 au 21 mars (Parvis St Jean)
Makbeth
Munstrum Théâtre / La compagnie s’empare avec irrévérence de la pièce de Shakespeare. Un spectacle polymorphe, brut et sensuel. Du 25 au 27 mars (Au Cèdre, Chenôve)
Dynasties
Mise en scène et performance Matthieu Barbin-Sara Forever / Dans ce texte qui traite de la question de l’héritage, Matthieu Barbin construit une mosaïque de personnalités. Les 3 et 4 avril (Salle Fornier)
Une ombre vorace
Texte et mise en scène Mariano Pensotti / Il est question de Pétrarque et de filiation, des pères partis que leurs fils mythifient et des pères présents que leurs fils méprisent. Du 8 au 12 avril (Salle Fornier)
Festival Théâtre en Mai
Présentation publique le 7 avril. Du 23 mai au 1er juin
Théâtre, humour, rock, variétés, musique classique, gospel, danse… Les spectacles proposés par la Ville de Yutz en 2024/25 satisferont tous les publics.
Saison culturelle 2024/25
Spectacles à L’amphY, sauf mention contraire
Les Négresses Vertes
Concert rock – Le groupe célèbre les 30 ans de l’album Mlah avec une tournée de plus de 300 dates. 20 h 30 – Mardi 1er octobre
Cali
Concert pop/rock – « Parfois on garde le meilleur pour la fin ». C’est par ces mots de Joe Strummer que Cali définit son album anniversaire. 20 h 30 – Jeudi 3 octobre
Black Harmony Gospel Singers
Concert gospel – Composée d’Antillais et d’Africains passionnés de negrospiritual, la chorale explore toutes les nuances vocales, des murmures aux vocalises improvisées. 20 h 30 – Vendredi 4 octobre (Salle Bestien)
Kolia Rutili
Concert new roots – Le leader charismatique du groupe RIC lance un projet solo innovant et énergique. Il choisit l’amphY et sa ville natale pour dévoiler son album. 20 h 30 – Samedi 26 octobre
Téléthon : soirée Ibiza électro
Animée par Mike-i, DJ professionnel exerçant en France, en Belgique et au Luxembourg. 20 h 30 – Vendredi 15 novembre
La légende de Montmartre
Comédie musicale – Avec Alain Turban et ses invités, découvrez la naissance et la démesure de la butte Montmartre, ses chansons, ses artistes, ses peintres et ses cabarets. 16 h – Dimanche 17 novembre
Trio Boréales
Pour Elles ! – Textes littéraires et poésies s’entremêlent à la musique en un bouquet tout en délicatesse dédié à toutes les femmes. 20 h 30 – Vendredi 22 novembre (Salle Bestien)
Un grand cri d’amour
La comédie cultte de Josiane Balasko revient avec Alexandre Brasseur et Catherine Marchal. Gigi et Hugo, autrefois unis sur scène et dans la vie, se détestent désormais… 20 h 30 – Jeudi 28 novembre
Jeanfi Janssens
Tombé du ciel, humour – Le steward le plus populaire de France revient avec un nouveau one-man show et des anecdotes inédites. 20 h 30 – Mardi 10 décembre
Jean-Baptiste Guégan
Johnny, vous & moi, concert rock – Un voyage musical mêlant acoustique et électrique, aux confins du blues, du rock et de la chanson. 20 h 30 – Jeudi 12 décembre
CharlElie Couture
Concert rock – Cette icône d’une certaine chanson-rock littéraire traverse les décennies avec l’élégance incontestable des grands hommes discrets. 20 h 30 – Mardi 14 janvier
Le bracelet
Comédie d’Isabelle Mergault avec Isabelle Mergault, Yvan Le Bolloc’h – Après 18 ans de taule, André revient chez lui, un bracelet électronique à la cheville. Son retour ne provoque pas l’enthousiasme… 20 h 30 – Jeudi 16 janvier
Neptunium
Concert classique – Le quatuor explore un répertoire varié en arrangeant des œuvres d’orchestre, de piano, d’orgue et de quatuors à cordes pour ses instruments. 20 h 30 – Vendredi 17 janvier (Salle Bestien)
J’ai deux amours
Comédie musicale de l’École Municipale de Musique de Yutz – 26 août 1944. C’est la libération de Paris. Les Allemands ne sont pas encore tous chassés de la capitale. Un petit groupe de FFI les combat… 20 h 30 – Samedi 25 janvier
Le cake aux olives
Comédie de Jérôme de Verdière, avec Bernard Mabille et Philippe Chevallier – Bernard a mis la 5e de Beethoven sur son tourne-disque et un revolver sur sa tempe. Philippe, un voisin, lui sauve la vie en sonnant à sa porte. Les ennuis commencent… 20 h 30 – Jeudi 30 janvier
Roméo et Juliette
Ballet en trois actes de Prokofiev – La chorégraphie livre tout le faste et la violence où truculence et beauté se mêlent, restituant la passion du drame de Shakespeare. 20 h 30 – Mardi 25 février
GuiHome vous détend
Humour – Son spectacle explore le passage de l’enfance à l’âge adulte avec humour, en mettant en scène des personnages et situations réalistes. 20 h 30 – Jeudi 27 février
Dad was a bad mother
Concert rock – Leur musique, intense et rugueuse, se veut une exploration des émotions brutes et puissantes. 20 h 30 – Vendredi 28 février (Salle Bestien)
Souchon & Sons
Chanson – Ours et Pierre Souchon revisitent avec lui le répertoire d’Alain Souchon, entre titres incontournables, perles rares et surprises. 20 h 30 – Samedi 1er mars
Tout va très bien
Comédie de Ray et Mickaël Cooney, avec Arthur Jugnot et Laurent Ournac – L’histoire hilarante de 3 frères qui auraient mieux fait de ne pas se retrouver… 20 h 30 – Vendredi 7 mars
La porte à côté
Comédie de Fabrice Roger-Lacan, avec Michèle Laroque et Grégoire Bonnet – Elle est psy. Il vend des yaourts. Voisins de palier, ils se détestent cordialement… 16 h – Dimanche 9 mars
Festival du Soleil
Concerts ¿Who’s The Cuban? + La Caravane passe le 21 mars à 20 h / Baye Gallo & Les Mawlana Bande + Cephaz le 22 mars à 20 h (Salle Bestien)
Le casse de l’année
Comédie de Jean Frano et Guillaume Mélanie, avec Booder et Audrey Garcia – Caterina Khéroul est une cambrioleuse de renom, assidûment recherchée par les polices du monde entier… 20 h 30 – Jeudi 27 mars
Franjo
Humour – Il traite d’absolument tous les sujets sur scène, sans retenue ni peur de froisser qui que ce soit. 20 h 30 – Mardi 1er avril
Matheco
Tout est normal, humour – Avec sa plume avisée et son caractère bien trempé, Guillaume passe en revue notre quotidien… 20 h 30 – Vendredi 4 avril (Salle Bestien)
Le secret du Lord
Magie – Lord Martin vous invite dans son manoir pour un voyage magique. 20 h 30 – Samedi 5 avril
Les cabotines
Comédie de Bruno Druart et Patrick Angonin, avec Valérie Bègue, Steevy Boulay – Au début du XIXe siècle, dans les loges de la Comédie-Française, deux célèbres actrices provoquent scandale sur scandale. 20 h 30 – Jeudi 24 avril
Josselin Dailly
Humour – Qui ne s’est jamais demandé s’il avait fait les bons choix ? Nos décisions sont-elles réellement les nôtres ou tout est-il prédéterminé ? 20 h 30 – Vendredi 16 mai (Salle Bestien)
Chorale Just Brass
Variétés – Son répertoire éclectique intègre des titres de Florent Pagny, Jean-Jacques Goldman, Michel Berger ou Vitaa. 20 h 30 – Vendredi 13 juin (Salle Bestien)
Yutz L’amphY • 126 rue de la République Salle Bestien • 2 rue de la République +33 (0)3 82 56 14 15 Billetterie en ligne sur lamphy.ville-yutz.fr Locations réseau Ticketmaster
En 1935, douze artistes verriers parisiens proposèrent de remplacer les verrières en grisaille de Viollet-le-Duc installées dans la nef de Notre-Dame de Paris par leurs propres créations. Encouragé par les défenseurs du renouveau de l’art sacré par la modernité, le projet se heurta pourtant à de nombreuses réticences au nom de la préservation de la cathédrale…
Notre-Dame de Paris
La querelle des vitraux (1935-1965)
Près de 90 ans après le début de cette querelle, et pour la première fois depuis leur dépose, la Cité du Vitrail réunit dans une exposition extraordinaire ces créations dans la chapelle et les salles attenantes de l’Hôtel-Dieu-le-Comte à Troyes. Un événement qui accompagnera la réouverture de l’emblématique cathédrale parisienne, prévue le 8 décembre 2024.
Aux côtés d’une quinzaine de vitraux (lancettes et roses) qui seront exposés pour la première fois depuis leur dépose en 1939, une vingtaine de maquettes et esquisses, mais aussi des tableaux et de nombreux documents d’archives (plans, photographies, articles de presse…) illustrent la virulence des débats de l’époque : Peut-on oui ou non insérer de l’art moderne dans les monuments historiques ?
La création contemporaine y a-telle sa place et si oui comment ? L’exposition parcourt alors 30 ans de cette affaire qui s’échelonna de 1935 à 1965, avec des temps forts, des interruptions et des revirements. Cette dernière monopolisa de nombreuses énergies, aussi bien des acteurs de la culture que du grand public.
L’exposition démarre par l’intervention de Viollet-le-Duc, vers 1855-1860. À la demande du Chapitre, il fit installer de nouveaux vitraux pour les fenêtres hautes de la nef.
Auparavant ornées de verrières du XIIIe siècle, ces dernières ont été déposées en 1753 pour faire entrer davantage de lumière. Jugée peu satisfaisante d’un point de vue historique et esthétique, cette opération fut par la suite critiquée, ouvrant ainsi la voie à une nouvelle intervention.
Le projet, porté par douze maîtres verriers parmi les plus réputés de leur génération, provoqua de vives réticences qui aboutirent à une véritable dissension : aux partisans d’un respect immuable du patrimoine ancien, que nul ne saurait égaler, s’opposèrent les défenseurs d’un renouveau de l’art sacré par la création moderne.
Si cette proposition artistique, bouleversée par de nombreux revirements, ne vit jamais le jour, plusieurs vitraux ainsi que de nombreux documents d’archives témoignent encore de cette affaire qui enflamma pendant près de trente ans le monde du patrimoine et l’opinion publique.
La virulence de ce débat autour de l’insertion de l’art contemporain dans un édifice ancien et hautement symbolique, trouve une résonance toute contemporaine dans les discussions qui animent l’actuelle restauration de Notre-Dame, suite à l’incendie de 2019.
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